Timide caresse d'une lumière crépusculaire
Sur une Azergue silencieuse et prisonnière...
Quand l'eau joue le miroir de la glace...
Quand les lignes frissonnantes affrontent les dentelles givrés du rivage...
Quand chaque goutte devient cristal...
J'abandonne mes doigts engourdis au fond de mes poches,
Ferme les yeux,
Pour les rouvrir demain et surprendre encore ce paysage aux premières lueurs
Un autre jour, plein de promesses...